Nouvelle Calédonie




Number one : la bière locale
L'ancien slogan est à noter quand même.
La Number One, la bière qui rafraîchit de la tête aux claquettes


Forêt tropicale Nouvelle Calédonie

 
Retour sur Nouméa
Avant de nous envoler vers Sydney, nous passons 3 nuits à Nouméa.

Nous retrouvons Valérie, Régis et leurs enfants qui nous accueillent chez eux pour notre première nuit  (nous les avions rencontrés à Bourail il y a 5 semaines)...
Nous sommes très heureux de les retrouver pour partager un superbe repas  et leur raconter la suite de notre périple!
UN GRAND MERCI à cette adorable famille, merci pour votre gentillesse, pour votre acceuil!
On espère vraiment vous revoir un jour...(sous l'eau???)

Nous passons les 2 jours suivants à faire quelques achats, buller et aller visiter l'aquarium pour le plus grand plaisir de nos titis!



Entre autres, un poisson qu'on aura beaucoup croisé ici, le baliste picasso...




Le Bingo, sport national sur le Caillou
Petite journée passée dans un collège au nord de Lifou pour vivre encore un moment authentique : danses, concert et le fameux "bingo". Le tout avec l'odeur des brochettes locales ... Comme vous voyez, y'a d'la couleur, les robes s'appllent des "popiné".

Lifou

Nous avons passé 6 nuits sur Lifou, d'abord dans le nord puis dans le sud.
Encore une fois, nous avons passé la plus grande partie du temps dans l'eau. Superbes fonds marins, véritables piscines naturelles...
Jeanne a nagé avec une tortue et Cédric a vu plusieurs requins...
On n'est pas loin du paradis sur cette superbe île.
Allez, je vous laisse voir par vous même...

























Nous en avons aussi profité pour visiter un superbe sentier botanique, guidés par Jeannine ...





















Séance de jonglage sur la plage
Cédric a fait fureur auprès des jeunes qui sont revenus le lendemain pour apprendre encore et encore!























Boîtes aux lettres : pourquoi s'embêter ?
Ouvéa
C’est un atoll corallien surnommée " l'île la plus proche du paradis ", qui s’entoure autour d’un magnifique lagon. Seulement 4300 habitants, un peu le bout du monde. Les 2 premiers jours sont un peu décevant car le temps n’est pas avec nous. 30 degrés ok ça va mais beaucoup de vent et donc la mer est agitée, ce qui empêche toute plongée. ( j’aime un peu honte en écrivant ces lignes, je retire ).
Le lagon est magnifique avec ses différents bleus depuis la plage jusqu’à l’horizon. On est bien, on est très bien.
La pluie sera au rendez vous les derniers jours, dommage.



pas mal le campement...













 Nous retrouvons Jean Luc et Michèle que nous avions rencontrés à Poingam. Le monde est vraiment petit: ils habitent à Lanton, près de chez Claude!
Ils sont en vacances avec Rémy et Pascale.

Nous avons passé d'excellents moments avec cette joyeuse troupe (à 8 dans le Kangoo pour aller faire du PMT ou pour aller boire un verre au fin fond de la brousse!).
Un grand merci à eux 4! On espère vous revoir dès notre retour!

Rencontre de Koma, la femme du pasteur, depuis décédé, qui servit d’intermédiaire dans les évènements de 1988, dans la grotte de Gosannah ici à Ouvéa. Elle tient une table d’hôte dans le nord de l’île sur la baie d’Ognat…

Personnage riche en couleurs :
«  - Je suis riche des rencontres que je fais chaque jour, pas besoin de gagner plus d’argent que ce que j’ai, le strict nécessaire pour vivre ».



Les îles Loyauté


Cet archipel constitué des îles Ouvéa, Lifou et Maré est habité par des tribus mélanésiennes depuis des millénaires. Des navigateurs polynésiens se sont mélangés à la population locale entre le XIème et le XIXème siècle, ainsi que des baleiniers.
Les Mélanésiens ont payé un lourd tribut aux maladies amenées par l’homme blanc : rougeole, variole. Les contacts avec la culture occidentale continue ensuite avec l’arrivée des évangélistes pseudo anglais venus des Tonga ( putain, ils sont partout ) en 1840.  Curieux d’apprendre le succès des protestants, les catholiques français débarquent 10 ans après trop occupés à convertir les habitants de la Grande terre et ceux de l’île des Pins.
A partir de 1950, une partie de la population des îles est transportée dans les plantations de canne à sucre sur les îles australiennes. Cette traite négrière s’appelle «  la chasse aux merles ». Aujourd’hui, les îles se dépeuplent ; les jeunes ne veulent pas rester comme leurs parents, loin de tout et rêvent de la ville Nouméa.


Poingam, le nord de la Grande Terre

Après de longues heures de route, nous arrivons au Relais Poingam, superbement situé au bord de l'eau, dans le secteur le plus sauvage de la Calédonie.
Notre site de camping se trouve dans un cadre splendide et sauvage. Il est noyé dans la végétation tropicale, sur une plage tranquille.
Histoire de rajouter un peu plus de plaisir, la table d'hôte de ce Relais fait partie des meilleures de la Nouvelle Calédonie... Nous y mangerons donc deux fois.
Sur la route de Poingam



Depuis notre tente!






4somnambules, des news

Rencontre avec une crevette de rivière 


 
 Jeanne a été attaquée par un crabe mais heureusement on a eu de l'aide


Sortie palmes, masque tuba, comme tous les jours





Relais Ouane Batch

Une nuit au relais Ouane Batch, sur la côte est toujours, en remontant vers le nord.
En face du camping : un site de PMT excellent pour voir des gorgones... Le site est superbe, une véritable piscine naturelle...Nous nous sommes régalés comme tous les jours.
Nous avons même nagé avec une tortue.
Le pied! 
En fait, en Nouvelle Calédonie, on passe plus de temps sous l'eau qu'au soleil.






Un trico rayé

Chasse au cerf à la kanak ( en tongues )
Histoire vraie à 1 ou 2 minutes près … ( un clin d’œil tout particulier pour Nico, célèbre chasseur mi-auvergnat mi savoyard, à qui j’ai pensé plus rapidement que prévu )

22h. Ghino est impatient, il trépigne. Nous sommes à table tranquillement mais il est préoccupé. Son pote ne vient pas alors qu’il devait venir à 21h.
C’est l’heure Kanak, certains connaissent ça aussi en France.
22h15. Il arrive en combinaison de camouflage avec son fusil de chasse équipé d’une lunette.
C’est l’heure d’aller à la chasse. Dehors, il fait nuit noire depuis longtemps. Ils vont chasser avec une grosse lampe. Jino m’avait prévenu de leur sortie et m’avait proposé de venir avec eux.
J’hésitais jusqu’à tout de suite. Mais là, j’y vais c’est sûr, c’est trop authentique pour louper ça.
22h30. On part en 4X4 sur la petite route qui longe l’océan. Je suis assis côté passager. Ghino conduit et son pote est à l’arrière ; il éclaire la fôret.
22h37. « - Hop,hop, là … recule recule … »
Jino fait marche arrière et éteint les feux. La voiture restera garée là, sur la route ( à la parisienne un peu ). Je n’ai pas le temps de descendre qu’un premier coup de feu retentit.
22h38. Je descends pour les rejoindre. Ghino tient le projecteur à bout de bras, son pote tire une seconde fois. Touché.
22h39. Ghino retourne à la voiture, je prends la lampe et suit son pote dans les herbes hautes sur une trentaine de mètres, à la recherche de la bête. J’avoue n’être pas très rassuré vu que les armes c’est pas mon truc déjà. En plus je suis en compagnie d’un kanak genre bon gaillard que je ne connais pas du tout.
22h41. Le cerf est là, allongé. C’est moi qui le repère ( maigre participation j’ai pas pu faire mieux ). Mon acolyte continue car il est sûr qu’ils étaient 2.
22h43. Il revient, prend le cerf par les pattes. Je joue les luminaires et nous retournons à la voiture. Le cerf finit dans la benne.
22h50. Nous sommes de retour à la maison où les filles ont à peine eu le temps de dire ouf. Elles hallucinent, moi aussi.

En 20 minutes, nous venions de tuer un cerf, aller-retour compris.

22h55. S’ensuit ½ heure de dépeçage. Ils sont très fort, ils vont vite.
23h25. « - Et ouais ça s’passe comme ça ici », me disent-ils.
Nous passons à la découpe de la viande en morceauxpour les brochettes ( qui serviront demain pour la fête de l’école ).
Il nous faudra jusqu’à minuit, un truc comme ça.

Pour info, les cerfs sont très nombreux ici et le fait de les éblouir pendant la nuit les hypnotise quelques instants le temps d’ajuster.

Dans toutes les familles , il y a un fusil. En gros tout le monde chasse.
Ici la nature donne beaucoup d’elle-même : cerfs, cochons sauvages, de nombreux fruits et légumes toute l’année, poissons et crustacés … C’est beau, y’a qu’à se servir …

Amis chasseurs, prenez en de la graine. C’était ma première sortie chasse, je ne suis pas déçu.

Tribu de Panié


Nous sommes allés chez des nouveaux couchsurfeurs : Emma et Ghino qui habitent à la tribu de Panié.
Emma est instit dans une petite école maternelle. Elle a 10 élèves. Son maison communique avec l’école par le jardin. Vue sur la mer, Emma nous avoue même qu’elle voit passer les baleines de sa classe !
 
Son copain, Ghino, est un kanak rasta man très sympa et surtout très drôle.
Nous arrivons en fin de matinée pour une petite intervention dans sa classe. Paul est trop content de trouver des petits copains. Jeanne est très fière de montrer à ces tout petits notre périple !
Après quelques petites chansons, une séance de jonglerie avec Cédric, nous prenons beaucoup de plaisir à leur montrer des photos et des vidéos des animaux que nous avons croisé jusque là.








Nous avons passé deux soirées assez mémorables à papoter avec eux. Un grand merci donc à tous les 2 pour cet accueil aussi chaleureux !


Accueil en tribu Kanak
Nous nous sommes enfoncés dans la brousse ce matin là pendant une heure, en direction de la tribu de Tendo où nous allions passer 3 jours afin de nous imprégner de l’atmosphère de la vie en tribu. 
Monique, qui nous accueille, avait bien peur que l’on n’arrive pas jusqu’à chez elle avec notre « petite voiture » ( en oppostion avec les 4X4 !)  car il avait beaucoup plu la veille.



Dès notre arrivée, nous faisons la coutume : nous lui offrons un coupon d’étoffe colorée de 3 mètres (un manou), un billet de 500F et des dessins des enfants. Ce geste coutumier est une marque d’attention. Il s’accomplit dans la plus grande simplicité et permet d’établir une relation privilégiée avec nos hôtes. Plus que l’objet, c’est le geste qui compte. Le geste et les paroles. Celles prononcées par les Kanaks nous indiquent que nous sommes désormais leurs hôtes et qu’ils nous protégeront.

Nous dormons dans une petite maison dont le toit est en écorce de Niaoulis : un faré. Par terre, des nattes et des matelas. Pas de douche, juste des toilettes. L’accueil est rudimentaire et traditionnel.



Après un petit tour de la tribu et la visite de l’école, nous passons notre premier repas en face de Monique qui a fait venir un repas traditionnel à base de tarots, d’ignames et de poulet  préparé par ses nièces. Nous discutons avec Monique de la vie en tribu, de ses coutumes.
Nous nous régalons et allons nous coucher sous nos moustiquaires, repus !






Le premier matin est consacré à une activité tressage.
Nathalie, une cousine de Monique, vient nous apprendre à tresser des petits objets avec des feuilles de palmier.
Les enfants sont ravis, l’activité leur plait beaucoup. Confection de balles, d’hélices pour le plaisir des petits, mais aussi des grands. 







L’après midi, Nathalie nous amène à la pêche à la crevette de rivière. Armée d’une épuisette artisanale, elle nous conduit à la rivière. Habile, elle soulève les cailloux et nous dégotte des crevettes de toutes tailles. Les enfants s’éclatent, les pieds dans l’eau. Nous soulevons les cailloux à la recherche de ces petites bêtes.






Durant ce long moment, elle prend le temps de nous montrer les arbres, de nous parler de la vie dans la brousse. Les kanaks chassent le cerf et le cochon sauvage, vont à la pêche en mer ou en rivière, cultivent d’immenses potagers sur leurs terres.

Ici, la végétation est sublime, nous sommes ébahis par la forêt tropicale qui nous entoure. C’est superbe.

Le repas du soir est un plat traditionnel : « le bougna », cuit dans des feuilles de bananiers.
Ce soir là, Monique est plus à l’aise et nous abordons avec elle des sujets sensibles comme la place des « blancs » en Nouvelle Calédonie et l’indépendance. Nous sommes heureux de partager de tels moments à sa table.




De belles rencontres sur la Grande Terre (parmi tant d'autres!)

Tout d'abord nos couchsurfeurs de Nouméa, Fred et Charlotte, qui nous ont quand même accueilli 3 nuits, qui ont gardé nos affaires et nous ont donné plein de bons tuyaux.
On croise les doigts pour vous pour le Canada...
Merci pour le rhum! On espère que la bière sera bonne!


Camping de Poé, Bourail, les enfants s'en sont donné à cœur joie avec Elvane et Maëlle. Nous avons passé d'excellentes soirées avec cette petite famille! Ils nous accueilleront d'ailleurs à notre retour sur Nouméa!Vraiment sympa! On sera content de les retrouver!




Population et culture
Les Néo-calédoniens sont tous des citoyens français mais ils se divisent en différents groupes qui forment une société multi-culturelle ( environ 245 000 habitants
Avec 45% de la population, les kanaks constituent le groupe culturel le plus important. Ce sont des mélanésiens, groupe vivant dans nombre d’îles du Pacifique sud-ouest. Ils vivent principalement en tribus
La population polynésienne vient surtout de Wallis et Futuna ; leur communauté est réputée pour la qualité de leurs pêcheurs, de leurs groupes musicaux et leurs compagnies de danse. Leur opposition à l’indépendance a crée un profond antagonisme entre eux et les kanak ( on y reviendra ) 
 Les « Métros » ou les « Zoreilles » sont ceux qui rentrent en métropole à la fin de leur contrat ( beaucoup restent par la suite vu l’envoutement de ce lieu ). Ils viennent travailler quelques années, ils sont fonctionnaires, médecins, profs, techniciens …
Les Asiatiques ( indonésiens, vietnamiens, chinois ) ont souvent un ancêtre venu travailler dans les mines. Ils restent très attachés à leur culture et travaillent dans le commerce et la restauration ( ici aussi il y a un Chinatown à Nouméa
Les descendants des déportés musulmans kabyles
Les Caldoches sont les descendants des forçats ou des premiers colons français arrivés au milieu du XXème siècle. Quelques descendants de britanniques ayant à l’époque tentés leur chance. Qu’ils soient de très riches propriétaires ou de simples « broussards » tâchant de faire prospérer son troupeau dans les plaines arides de l’ouest, les Caldoches ont un très fort sentiment s’appartenance à ce pays, auquel leurs ancêtres, dans des conditions souvent très difficiles ont apporté le « progrès » avec la mise en valeur minière, agricole, industrielle et commerciale. Les «  broussards » apprécient la pèche, la chasse et le rodéo …


6 novembre, Hienghène, petit village sur la côte est
Nous sommes au bord de l'océan dans un p'tit camping Babou Océan. Déjà 2 sorties kayak en ce qui me concerne avec les enfants.
Emilie, quant à elle, a fait un baptème de plongée hier après midi. Elle est ravie.
L’accueil au centre de plongée Babou côté océan à Hienghène est vraiment excellent. Merci à toute l'équipe!
www.babou-plongee.com




Retour de plongée

Un grand merci à Camille qui, par sa grande gentillesse et ses qualités professionnelles m'a vraiment donnée envie d'y aller! Un grand merci aussi à Isabelle qui m'a fait faire le baptême!



3 novembre, Bourail, plage de Poé
Le seul endroit de la côte ouest où l'on reste. Le lagon est magnifique et l'océan très calme.
Sortie snorkelling avec un bateau à fond de verre, direction la barrière de corail. Paul qui ne plonge pas a pu cette fois en profiter lui aussi.








la balade des 3 baies

2 heures de marche dans une forêt tropicale tantôt surplombant la plage tantôt dans le sable. Très belle sortie ( à noter que les schtoumfffs étaient restés au camping avec d’autres enfants ce qui nous a permis d’être tous les 2 )
Le site de la Roche percée avec la baie des Tortues et la baie des amoureux constitue le 2ème spot de ponte pour les tortues du Pacifique. Les tortues entreprennent de longues migrations quelques mois pour rejoindre les sites de ponte. Ces espèces étant très menacées, tous les ans, des bénévoles se relaient afin d’assurer que les pontes se passent pour le mieux sur la plage.
Ici ce sont principalement des tortues «  grosse tête » qui peuvent peser jusqu’à 135 kg. De belles bêtes que l’on a aperçu dans l’eau il y a 2 jours mais trop loin pour n’en deviner que la forme sombre et majestueuse.



Nouméa

le marché




Introduction
La Nouvelle Calédonie est un archipel situé à 17000 kms de la France ( de plus en plus loin, de plus en plus forts ). Ici, il y a la grande Terre, longue de 450 kms ainsi que de petites îles ( l’île des Pins et les îles Loyauté : Ouvéa, Maré et Lifou ) sur lesquelles on compte bien aller faire un tour.
La grande Terre est traversée tout du long par une chaîne montagneuse dont le sommet s’élève à 1629m. La Nouvelle Calédonie, comme la Nouvelle Zélande ne relève pas de l’activité volcanique. Elle s’est séparée de l’Australie il y a maintenant 140 millions d’années.
Au programme : rencontre avec la culture kanak, plages de rêve, snorkelling, randonnée, kayak …
A priori, on compte plutôt privilégier la côte est, plus sauvage et authentique. On a aussi réservé nos vols pour Ouvéa et Lifou.


Les 2 côtes de la Nouvelle Calédonie : à l’ouest c’est plutôt sec avec des forêts et des prés où paissent de nombreuses vaches. Beaucoup de propritéiares sont des Caldoches ( descendants des bagnards français ). A l’est, c’est la forêt tropicale, il y a beaucoup d’eau qui coule de la chaîne de montagne toute proche. C’est là que sont installés la plupart des tribus kanak. C’est cette côte que l’on a décidé de privilégier.
 A savoir : le décalage horaire est désormais de 10 heures ( de plus qu’en France )

Bien le bonjour.

14 commentaires:

  1. Super vos photos .... cela nous permets (et à toute la famille) de voir les lieux où vous évoluez. Si notre cœur préfère l'Australie, nous continuerons à vous suivre tout au long de vos périples. Les fleurs, les fruits, les animaux sont magnifiques. Plein de bisous à Jeanne et Paul, dites leur que nous attendons des nouvelles de la famille Playmobil .....
    Parents de David

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  2. Un petit coucou,
    j'ai envoyé quelques photos à Emilie
    Avec vous j'aime la géographie ,l'histoire,les sciences
    Mais surtout je suis trés heureuse de vous voir en pleine forme
    enormes bisous .Marie-claire

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  3. D'énormes bisous aussi de la petite sœur de la voisine du dessus !!! moi aussi, j'aime apprendre avec vous, même que je retournerais bien à l'école mais avec vous comme instit bien sur et à la plage bien entendu .....
    Je vous aime Cathy

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  4. Ola,
    Ah tous ces fayots... Ils sont admiratifs de vos belles plages, du corail. Nous, ici, on a la pluie, le froid et la gadoue. Là tu te sens vivre !! Boudiou ! Et puis t'es pas coupé du monde, tu peux par exemple apprendre que Lorie fait une émission de télé réalité sur la danse et qu'elle trouve ça dur. Vous avez pas ça là-bas au fond des océans ; un poisson ça parle pas ! Bon, sinon comme je veux pas vous vexer, c'est vrai que c'est pas mal là où vous êtes...
    Halut les goubains !
    SEB
    PS : j'parie que le barbichouette, il a même pas attrapé un barracuda ou un truc de ce genre, alors pas la peine de faire le malin !
    PPS : bon, vous trouvez qui a mis quoi sur le CD ??

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  5. J'espère que vous savourez tout pleinement! J'aimerais vous rejoindre! Je suis très heureuse pour vous les petis chéris.Je vous aime. Nanie.

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  6. Salut à vous les 4 fantastiques. Je prends enfin de le temps de venir croquer ce morceau de joie que vous nous faites si gentiment partager. Je viens de lire tout ce que je pouvais et je suis ravi, ébloui et enthousiaste pour tout ce que vous avez vécu et tout ce qu'il vous reste à vivre. Marie se joint à moi pour vous bizooter très fort.

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  7. trop heureuse d'avoir de vos nouvelles .Vous suivre c'est voyager ,découvrir les pays par l'humain et les choses vraies .Les photos des plages ressemblent au paradis.J'espere que vous ramenerez des recettes ,les images me font saliver
    gros bisous à tous les quatre
    marie-claire

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  8. Non mais...qu'est ce qui vous arrive les "bouchets", après Estlle qui va a la Chasse...sisisi bon nous aussi on aura 2/3 trucs a vous expliquer aussi...mais Cédric tue des petites betes ...que dis je des grosses betes. Bon mais vu comme ca, ca serait pas un peu du braconage...si je comprends bien 2013 je vous prends un permis de chasse on va y aller en famille! Jeanne et Paul ont meme plus peur des petites betes, croco, ecrevisse, crabe...
    Amusez vous bien...

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  9. Juste un mot pour résumer ce que je viens de lire et de voir : magique !!!
    Bises frileuses de l'Allier
    Aurélie V.

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  10. Mélanie (Taussat)28 novembre 2012 à 21:40

    Encore des photos sublimes !!! Que j'attendais avec impatience. Que du bonheur en résumé. C'est génial.
    Je vous embrasse fort.
    Mélanie

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  11. Les bancs de l'école vous manquent on dirait ? ;0)

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  12. Coucou,ça fait plaisir de vous lire!! Nous sommes à peine rentré qu'on passe des tong aux bottes de neige quel choc!!! La nostalgie nous gagne déjà quand je revois ces photos et c'est là qu'on se dit "on y était" !!Gros bisous et bonne route!! Alice&Daniel

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  13. Toujours aussi magique votre site et vos photos! j'ai essayé de mettre un mot sur le blog des petits et je n'ai pas de réponse...je ne dois pas faire la bonne manip! Je voulais les remercier pour les lettres reçues par porteur spécial à la maison à Lanton...sympas vos copains! ils seront ravis de vous recevoir à votre retour.
    Bisous à tous; on fera plus long par mail ou par skype
    Yaya

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